mercredi 7 septembre 2011

EMISSION DE SEPTEMBRE 2011

1 BON PLAN SANTE pour cette rentrée :


Empêcher votre corps de s'attaquer lui-même

L'incidence des maladies auto-immunes, où votre corps s'attaque lui-même, a triplé récemment. Quelques chiffres récents : en France, ces maladies affecteraient 5 à 10 % de la population et représentent le 3ème poste de prise en charge du budget de la santé, en raison de la lourdeur des traitements et de la durée de la prise en charge.


C'est bien simple : plus de femmes sont touchées par une maladie auto-immune que par les maladies cardio-vasculaires et le cancer du sein réunis.


Il en existe une grande variété : la sclérose en plaques, le diabète insulinodépendant, le lupus, les thyroïdites auto-immunes, la polyarthrite rhumatoïde, la spondylarthrite ankylosante, le syndrome de Goujerot-Sjögren, la maladie de Crohn, le psoriasis sont des maladies auto-immunes.


Et il en existe encore de nombreuses autres qui touchent le système nerveux, les articulations, les muscles, la peau, les glandes endocrines et le cœur…


Pour expliquer simplement, ces maladies sont des maladies dans lesquelles le système immunitaire du corps attaque vos propres tissus, au lieu d'attaquer des corps étrangers comme des bactéries (ce pour quoi notre système immunitaire est fait).


Cela se produit lorsqu'une chose perturbe votre système immunitaire. De plus en plus, cette « chose » s'avère être la quantité énorme de toxines environnementales auxquelles nous sommes tous exposés.


Sans tomber dans la paranoïa, ni exagérer les dangers (produit « chimique » ne signifie pas forcément « mauvais pour la santé » : après tout, l'eau minérale est un produit chimique...) je vous propose de passer en revue la façon dont les toxines présentes dans notre environnement peuvent influencer notre santé et déclencher des maladies auto-immunes, puis finir par une liste de conseils pour éviter et/ou traiter ces maladies.


La pollution est la cause principale des maladies auto-immunes.


Nous sommes soumis à une quantité incroyable de toxines dans notre environnement. Plus de 80 000 produits chimiques nouveaux (ce qui ne veut pas forcément dire qu'ils sont toxiques ! C'est important de le souligner ici ...) ont été introduits depuis 1900. D'énormes quantités de produits toxiques sont relâchées dans la nature chaque année : plus de 10 millions de tonnes selon l'Agence américaine de protection de l'environnement.


Le mercure, qui était peu présent dans l'environnement de nos "anciens", voit sa concentration augmenter dans l'eau de mer, les rivières et la nourriture que nous mangeons : 3 500 tonnes de mercure sont émises chaque année dans l'atmosphère terrestre uniquement par l'activité humaine. 
Notez également que les principaux pics de mercure que l'on observe sont liés aux explosions volcaniques, qui peuvent envoyer instantanément des milliers de tonnes de mercure dans l'air ; et pour cela ou contre cela, nous ne pouvons pas grand'chose !


Toujours est-il que l'on trouve une concentration de plus en plus forte de mercure dans les poissons, en particulier les gros poissons qui se nourrissent des plus petits, et qui ont,^par conséquent, tendance à concentrer les toxines dans leur chair : dans certaines zones très polluées d'Amérique du Sud, le poisson peut contenir 1,67 mg de mercure par kilo ! Il est plutôt recommandé d'éviter de manger de gros poissons (thon, espadon, requin) pour cette raison.


Une association américaine, l’Environmental Working Group a étudié le sang ombilical de nouveau-nés à l'instant de leur naissance. Elle affirme avoir constaté la présence de 287 produits chimiques industriels, dont des pesticides, des phtalates, des parabènes, des dioxines, des agents ignifuges, du téflon et du mercure. Tout ça avant même que le bébé n'arrive au monde.


Votre corps ne peut gérer qu’un niveau raisonnable de toxines et cela paraît évident ...


La présence en petites quantités de toxines dans nos tissus est parfaitement normale, puisque l'organisme produit naturellement des déchets. Pour fonctionner, notre organisme brûle des nutriments, et donc, forcément, produit de la « fumée » : les toxines. Il est d'ailleurs équipé pour s’en débarrasser. Le corps possède quatre organes qui filtrent le sang, extraient les toxines et les rejettent à l'extérieur. Ce sont le foie, les reins, les poumons et la peau.


Une partie des toxines présentes dans le corps provient de l'usure des tissus eux-mêmes. Quotidiennement, le corps doit éliminer des débris de cellules usées, des cadavres de globules rouges, des minéraux usés, etc. La grande partie des toxines, pourtant, provient de la dégradation des substances alimentaires par le corps. Les protéines, par exemple, une fois dégradées donnent de l'urée, de l'acide urique; la combustion du glucose donne de l'acide lactique et du gaz carbonique, les graisses mal transformées : des acides cétoniques.


Une fois un certain seuil de tolérance dépassé, ces substances représentent un véritable danger pour le corps. Elles agissent comme du poison sur les tissus et les organes et, en excès, gênent le fonctionnement normal du corps.


Comme un moteur mal réglé qui produirait une fumée noire et grasse, qui finirait par l'étouffer, votre corps peut produire trop de toxines.


Lorsque la production de déchets excède les possibilités éliminatrices du corps, les toxines s'accumulent dans les tissus et préparent le lit aux maladies futures. Par exemple : les reins devraient éliminer 25 à 30 grammes d'urée en 24 heures. S'ils n'en éliminent que 20 grammes, cela représente une rétention de 5 grammes par jour soit 150 grammes par mois ! Si les reins éliminent seulement 12 grammes de sel en 24 heures au lieu des 15 ou plus qui sont absorbés chaque jour dans la nourriture, il y a rétention de 3 grammes par jour, soit 90 grammes en un mois ! Vous comprenez, alors, les incidences sur notre santé ?


Les médicaments chimiques, de synthèse et les vaccins sont aussi une des causes de l'intoxication de notre organisme. Pris dans des situations exceptionnelles et rares, ils n'auraient pas un effet aussi néfaste sur notre corps qu'ils ne l'ont aujourd'hui. C'est, en fait, la surconsommation médicamenteuse qui est trop répandue, hélas. Pas le fait de se soigner !!!


En plus, nous absorbons des colorants, des émulsifiants, des exhausteurs de goût, des stabilisateurs, des antioxydants, des agents conservateurs, etc. ; autant d’additifs que nous rajoutons aux aliments, pas pour améliorer leur valeur nutritive, mais pour qu'ils présentent mieux et se conservent plus longtemps. Présents, soit ! en très petites quantités dans les aliments, un calcul a été fait : chaque année, la consommation moyenne de ces substances est d'environ 2 à 3 kilos/personne !


Heureusement, les additifs ne sont pas tous toxiques; la plupart sont même parfaitement anodins. Certains cosmétiques, talcs, crèmes, teintures pour cheveux, poudres, déodorants, etc., contiennent des substances nocives ou à la limite du physiologique. Quant aux désodorisants industriels d'intérieur, je vous laisse imaginer les substances qui se diffusent dans votre domicile !


De nombreuses substances toxiques pénètrent également en nous par les voies respiratoires. Faut-il citer les poisons rejetés dans les fumées d'usines ou de chauffages et les gaz d'échappement des voitures ?


Cette liste n'est pas là pour vous effrayer, elle vise simplement à faire prendre conscience des multiples et complexes sources de déchets. En y prêtant un tout petit peu d'attention, nous pourrions éviter la plupart de ces sources d'intoxication.

Notre organisme n'est pas une poubelle dans lequel on peut jeter n'importe quoi ! Au moins, acceptons cela ! 


Quel lien avec les maladies auto-immunes ?


Selon le Dr. Douglas Kerr, professeur à l'Ecole de Médecine Johns Hopkins (Baltimore, USA), « il ne fait pas de doute que les maladies auto-immunes se répandent, et que notre exposition croissante aux toxines et produits chimiques dans notre environnement alimente le risque. Les recherches sont fiables. Leurs conclusions inattaquables. »


Les toxines de l'environnement sont un facteur majeur des maladies auto-immunes. Et pourtant, la médecine conventionnelle ne tient pas compte de cela lorsqu'elle tente de les soigner. Elle essaye de bloquer les réactions immunitaires avec des médicaments aux effets violents, comme les anti-inflammatoires non-stéroïdiens, comme la cortisone, et de nouvelles molécules comme les anti-TNFalpha.


Or, ces nouveaux médicaments bloquent le système immunitaire de façon si efficace qu'ils augmentent le risque d'infection et de cancer. Et ils ont de tels effets secondaires que leur effet n'est bien souvent que partiel et temporaire. Ils peuvent sauver la vie à court terme, mais à long terme, ils n'ont aucun effet sur les causes des maladies auto-immunes.


Le Docteur Mark Hyman, fondateur de la « médecine fonctionnelle » aux Etats-Unis, a traité des centaines de patients pour leurs maladies auto-immunes en s'attaquant aux causes sous-jacentes comme : l'excès de toxines, les infections, les allergènes, la mauvaise alimentation et le stress. Il témoigne aussi à titre personnel :


« Il y a des années, je souffrais du syndrome de fatigue chronique. Cette maladie a des composantes auto-immunes. Mes tests sanguins révélaient clairement que mon corps s'attaquait lui-même. En purifiant mon corps de son mercure, j'ai pu guérir de ma fatigue chronique et de mes problèmes d'auto-immunité. »


« Ma femme a développé elle aussi des maladies auto-immunes, dont des douleurs articulaires et de la fatigue. En éliminant de son corps les métaux lourds, grâce à un programme intense de détoxification, elle a guéri elle aussi. »


« Et cela a été le cas de nombreux patients. Pour chacun d'eux, je dois trouver toutes les causes – toxines, allergènes, infections, nutrition, stress – et rajouter les choses dont leur corps a besoin pour fonctionner de façon optimale, telles que : des aliments riches et de bonne qualité, des nutriments ciblés, de l'exercice physique, de la relaxation, de l'eau, des activités sociales qui donnent du sens à leur vie. Lorsque je fais cela, les résultats sont étonnants.


Il y a donc des moyens de soigner et/ou prévenir les maladies auto-immunes dont vous, ou quelqu'un de votre entourage, souffre. Voici les recommandations du Dr. Hyman :


• Faites faire des analyses de votre taux de mercure et de métaux lourds ;


• Envisagez d'éliminer de votre régime tous les aliments inflammatoires pendant quelques semaines pour voir si vos symptômes s'atténuent.


• Prenez des compléments alimentaires les plus naturels possibles rééquilibrant le système immunitaire, dont de la vitamine D, des acides gras essentiels (EPA/DHA) et des probiotiques. De préférence avec une galénique réduite à sa plus simple expression, comme des gouttes, par exemple, quand le produit est disponible sous cette forme ;


• Pratiquez régulièrement une méthode de relaxation profonde : le yoga, la méditation, le biofeedback, l'auto-massage ou toute autre méthode qui diminue votre niveau de stress ;


• Evitez le contact (et la consommation) de produits dont vous n'êtes pas sûrs de la toxicité, et des effets allergènes possibles ;


• Apprenez à augmenter les capacités naturelles de votre corps à se détoxifier. Consultez un thérapeute spécialisé à ce sujet qui vous guidera vers la solution la mieux adaptée à votre cas.

1 PIERRE : J’AI CHOISI LA MERVEILLEUSE SHUNGITE


La Shungite est une pierre noire mate, pas forcément jolie. Pourtant, c'est le plus ancien charbon connu, d’origine planctonique.


Unique dans sa composition, sa structure et ses propriétés !
Il s’agit d’une minéralisation naturelle qui s'est opérée avec le temps, autrement dit une distribution homogène de particules de silicates cristallins dans une matrice de carbone. On la trouve dans un seul endroit au monde : près du lac Onega Shunga en Russie, un lac d’une grande pureté. Il est très difficile de s’en procurer.


La Shungite développe un bouclier de rayonnement électromagnétique de haute fréquence vibratoire mesurable.


L’industrie dans le monde entier commence à s’intéresser aux propriétés exceptionnelles de la Shungite. En France, la Shungite à été intégrée avec succès dans une céramique ajointe aux éoliennes, les animaux eux-mêmes dans des champs et fermes environnantes ont ainsi été calmés des perturbations électromagnétiques engendrés par les éoliennes.
Extraordinaire ! Non ?

La Shungite constitue donc, un blindage exceptionnel pour les rayonnements électromagnétiques nocifs de toute origine, que ce soit : les ordinateurs, fours à micro-ondes, téléviseurs, téléphones portables ou influences négatives ésotériques (avec réserves pour ce dernier point).

La Shungite possède aussi d’étonnantes propriétés sur tous les organismes vivants. Globalement, elle améliore, protège, neutralise et régénère. Des études scientifiques russes démontrent ses étonnantes capacités bactéricides et régénérantes qui rendent une eau souillée en eau potable, cette action s’étend bien entendue dans l’organisme humain.


Aujourd’hui, l’eau qui contient la Shungite est également utilisée, à l'heure actuele, et dans des contextes encore "confidentiels" avec succès pour le traitement des maladies du sang, de l’appareil locomoteur, des organes de digestion et de la respiration et du système nerveux et cardiovasculaire.

Usez et abusez de la shungite ! Je dispose d’un petit stock de cette merveilleuse pierre fournie par la nature elle-même et capable de nous protéger dans de nombreuses circonstances, aujourd’hui hélas, indispensables à notre quotidien … Car qui pourrait se passer de tous ces appareils qui nous entourent au quotidien ? Sans compter qu'à de nombreux endroits, la wi-fi sévit à notre insu !!!


Je vous retrouve le mois prochain, le mardi 4 octobre, pour une nouvelle émission : 1 BON PLAN SANTE, 1 PIERRE.

Posez ici vos questions et/ou vos réactions.


Vous pouvez vous procurer les pierres dont je parle à chaque émission en me contactant, soit par le blog, soit par RCN, soit au n° 06.80.37.74.54.

Je ne propose que des pierres provenant de gisements choisis et réputés, et mes pierres sont préalablement nettoyées et purifiées, donc prêtes à l’emploi. 


Si je peux vous donner un conseil, évitez d’acheter une pierre sur internet, sauf si vous êtes sûr du site sur lequel vous achetez, ou encore si vous pouvez contacter le vendeur par téléphone, pour pouvoir discuter de ce qu’il a en stock. On en trouve facilement ailleurs, mais il vous faudra tout de même la nettoyer et la purifier.

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RUBRIQUE : LIBRE ECHANGE 6 SEPTEMBRE

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